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A
travers ses en regard, sur, Alain Marc pénètre les
peintres, et nous confie leur poétique. De Froeliger à
Lawrence, de Bourdon à Créac’h, de Guénin à McKellar et
d’autres plasticiens, le poète nous invite aux concrétions
de
vécu. Immédiatement, instinctivement, nous sommes
saisis et plongés dans ces vers, reflets d’excès et
indices d’éclairs. Dans ces coups d’éclat et défigurations
versifiées, l’auteur immisce,
concentre et médite les forces à l’œuvre. A force de
traits signes / qui se superposent Alain
Marc s’empare de l’intensité et éprouve nos visions. L’objet
/ disparaît / sous le trait qu’il a pourtant ins / piré,
écrit-il. Ainsi le poète évapore-t-il le narratif, la
stricte représentation pour introduire le visible comme
pur champ. Les fulgurances d’Alain Marc nous soumettent
directement à cette Épure /à la limite de la dispar /
ition. Dans ce recueil, les tensions deviennent dynamiques, rythmiques et
pulsionnelles. Elles décomposent et discordent les
figures, pour en traduire de vraies forces vitales. Dans
cette « logique de la sensation », pour
reprendre les mots de Gilles Deleuze, le ressenti,
instruit un fait intensif bien légitime. Éberlué
: explorer toute l’Intensité / de la vie / par la face /
figée. Tout est dit.
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Qu’est-ce qui fait signe lorsque je regarde ou que je passe devant une œuvre ? Qu’est-ce qui agit, qu’est-ce que cela produit dans mon esprit ? |
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EN REGARD, SUR
FROELIGER, KEJ, GRIGGIO, LAWRENCE, CULLEN, BOURDON, THÉVENOT, GUÉNIN, YSACOROMINES, CRÉAC’H, SCHLAGENHAUF, CATRY, DUSSERRE-BRESSON, KAOKOSMOS, SINGULARTE, McKELLAR |
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| En regard, | |
| sur Froeliger |
9 |
| sur Kej |
19 |
| sur Serge Griggio |
25 |
| sur Lawrence |
31 |
| sur Joan Cullen |
37 |
| sur Jacotte Bourdon |
41 |
| sur Valérie Thévenot |
49
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| sur Philippe Guénin |
53 |
| sur Ysacoromines |
65
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| sur et autour de Bertrand Créac’h |
69
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| sur Schlagenhauf |
85
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| sur Pascal Catry |
91
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| sur Brigitte Dusserre-Bresson |
95
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| sur Kaokosmos |
99
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| sur Singularte |
111
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| sur McKellar |
125
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| artistes |
129
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| préalables |
131
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| crédits |
135
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« Tu as
choisi des créations qui te correspondent et dont tu peux
parler, écrire. Clotilde Boitel *, lettre à l’auteur du 21 novembre 2022 sur En regard, sur Froeliger, Kej, Griggio, Lawrence… * ancienne directrice de l’École d’art du Beauvaisis, publication de la lettre sur le
profil du réseau "social" Facebook de l'auteur, mar. 29
nov. 2022 |
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« IL Y A DE
L’HUMILITÉ… ET DE LA GRANDEUR D’ÂME Il y a de
l’humilité à vouloir rendre compte Il y a de
l’humilité et de la générosité Il y a de
l’humilité Il y a de
l’humilité et de la légèreté, Il y a de
l’humilité à vouloir être interprète Il y a de
l’humilité… et de la créativité Il y a de
l’humilité – Pourquoi
de la grandeur d’âme ? Mireille Adenis *, écrit après la lecture d’En regard, sur Froeliger, Kej, Griggio, Lawrence… * Ancienne professeure d'histoire de l'art et
chargée de la coordination pédagogique de la classe prépa
publication de l'écrit sur le profil
du réseau "social" Facebook de l'auteur |
Voir la republication du poème « Bannières » dans la brochure de témoignages Bertand Créac'h, 1947-2022
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Ils l'ont répertorié : Babelio et Lecteurs.com Le livre est répertorié dans : Sens Critique, Booknode et Goodreads Ils l'ont reçu et l'annoncent : Terre à ciel |
