Poésies non hallucinées
& Rescapées, éveillées, zen
Poésies & notes
avec six anonymes calcinés de Christian Jaccard
MATIÉRES
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[La poésie non hallucinée] : l'inverse du regard halluciné. Dimanche 25 août 2002. (Note du recueil Poésies non hallucinées, & Rescapées, éveillées, zen p.115) |
Un
poème est unique. Il jaillit de sa seule nécessité. Mais
comme l’humain a toujours eu besoin qu’on lui raconte des
histoires, avec un début et une fin, les poèmes,
rassemblés en recueil, ont besoin d’un agencement et d’une
certaine uniformité retrouvée. * La démarche des « Anonymes calcinés » de Christian Jaccard [1] est venue me rattraper un beau jour lorsque l’artiste m’écrivit à nouveau près de dix ans après lui avoir envoyé un exemplaire des Regards hallucinés où j’avais déjà effectué un parallèle avec son travail. Certaines poésies et poèmes non hallucinés comme certaines poésies rescapées de ce recueil ayant été composés à partir de lectures flottantes de textes souches, ou recomposés à partir de textes anciens, ou tout simplement coupés et/ou transformés, lire ces poésies non hallucinées entièrement sous cet auspice ne les trahira donc en aucune manière. * Pour nombre d’entre ses poésies, et poèmes, ce sont aussi de merveilleux souvenirs d’oralisations. Notamment lors de deux spectacles au café-restaurant-salle de concerts L’Angora, tout près de l’opéra Bastille à Paris.
[1] Les anonymes calcinés sont des tableaux anciens d’anonymes “lacérés” par des brûlures de nœuds enflammés venant modifier totalement l’aspect de l’œuvre d’origine.
(texte de présentation du recueil Poésies non hallucinées, & Rescapées, éveillées, zen p.7-8) |
Sur quelques sources d’inspiration (passées) :
des “poésies non hallucinées, rescapées, éveillées, zen” ont
été écrites Liste
premièrement partagée sur le profil du réseau "social"
Facebook de l'auteur, |
« 'Poésies non hallucinées', douze ans après 'Regards hallucinés' , surgit un peu comme un reflet miroir en négatif […] Comme toujours avec Alain est au rendez l’omniprésence du Cri… : […] … Cris qui dénonce la violence de nos vies « modernes » SCANNER Telle une momie
Elle s’est enfermée Derrière … Et le cri via la naissance et la sexualité Fente CACHANT ET MONTRANT Le Dedans […] […] il y a, six reproductions d’impressionnantes peintures de l’oeuvre 'Anonymes calcinés' de Christian Jaccard. Enfin, le livre se termine par des pages de notes de travail de l’auteur et qui permet encore plus et mieux de saisir toute l'ampleur profonde de cet ouvrage. » Christian-Edziré Déquesnes, article « Qui ch'aret coere chti'lal, Alain
Marc ? »,
relais de l'article sur le profil du réseau "social" Facebook de l'auteur (avec les appréciations), 26 mai 2017 |
« Poésies non hallucinées, Alain Marc »« Le titre complet de ce bel ouvrage est à lui seul tout un poème : Poésies non hallucinées, et rescapées, éveillées, zen, Poésies et notes, Anonymes calcinés de Christian Jaccard. Le poète réalise là une étrange alliance entre les toiles de peintres anonymes du XIXe siècle partiellement détruites par Christian Jaccard dans un processus volontaire de combustion lente, et ses propres textes dont les mots souventement épars sur la page semblent être eux-mêmes des bribes d’une composition plus vaste, qui seraient restées visibles sur des feuillets jetés au feu et imparfaitement consumés. Le titre annonce les cinq parties du recueil.
Poésies non
hallucinées : Le poète est voyeur, au sens strict du mot. Ce que son imagination lui donne à voir est un vaste espace, souvent marin, parfois forestier, caractérisé par l’absence. Sur la mer aperçue, erre une barque vide, une sorte de vaisseau fantôme, et la viduité est si prégnante que l’espace lui-même devient une mer abandonnée. Le spectacle est en rapport avec l’état de désillusion, ou de désenchantement dans lequel semble se trouver le spectateur, qui ressent en lui vide, blessure, et sueur, et surtout fatigue du désir, constat de ce qui n’est pas et de ce qui n’est plus, exprimé par la répétition, reprise d’une chanson populaire : Nous n’irons plus aux bois.
Poésies
rescapées :
« Cri
Cependant, les thèmes des Poèmes non hallucinés reparaissent au mitan de ces clameurs, en particulier celui de l’ouverture, ici plus intime, forcée, plus proche d’Eros :
« Fente
Poésies
éveillées :
Qui a lu les Chroniques pour une poésie publique et/ou Il n’y a pas d’écriture heureuse reconnaîtra le talent-style très particulier d’Alain Marc dans les poésies du présent recueil et, dans les notes qui y figurent, sa théorie (ou son théorème) poétique qui constitue un quasi manifeste. Lecture
conseillée à tous ceux pour qui la poésie a un sens, une
existence, une fonction nécessaire, un avenir… » Patryck Froissart, « Poésies non hallucinées, Alain
Marc »,
relais de l'article sur le profil de la
Cause littéraire du réseau "social" Facebook relais de l'article sur le compte de
microbloguage Twitter de la Cause littéraire |
« Alain MARC, Poésies non hallucinées » Une posture d’Homme arc-bouté en équilibre instable sur le fil de la langue, tel Alain Marc, dont les vers brefs, comme le souffle coupé, émaillent un livre de belle facture ponctué de dessins « Anonymes calcinés de Christian Jaccard ». En lisant les premiers textes de « Poésies non hallucinées », je ne peux ôter de ma mémoire les suffocations d’Henri Michaux, le cri expulsé de ces pages liminaires de Face aux verrous. Ce cri, à force d’être paraphrasé par les triturations du texte, émerge, surréaliste et effrayant, mais salvateur, d’un recueil de poèmes démesurés de par la brièveté savamment organisée du verbe, et grâce au choix d’un lexique qui, pour être simple et usuel, n’en est pas moins l’outil d’une poésie épaisse et poignante. «
Fente CACHANT ET MONTRANT
le Dedans
Ce Monde
QUE PAR LE
MINCE Le poète convoque l’enfance, la foison de souvenirs dont il interroge incessamment l’exactitude. Son identité est questionnée au regard de ces entités temporelles de lui-même considérées avec le recul nécessaire à toute remise en question. Le dessin de la couverture ne dément pas cette omniprésence de l’inconscient, offrant un portrait dont des hachures verticales estompent les trois quarts du visage. Et il ne s’agit pas de plainte, Alain Marc interroge le passé, dans une tentative aboutie de renouvellement du discours lyrique, en prenant à bras le corps les lieux communs du genre pour les parodier ou en transcender la portée. « J’ÉTAIS PETIT ENFANT Il
y a quelques instants J’étais
descendu trans planté L’émoi Un énonciateur qui est toujours spectateur de lui-même, et critique sans concession mais sans apitoiement de ses heures d’aveuglement. Il est lié au désir de faire comme si l’oubli de ce regard spéculaire pouvait permettre au poète d’exister. Dialoguant avec son inconscient, il pousse plus avant cette remise en question des perceptions et des souvenirs, mais ne déstructure pas pour autant la langue, ni la syntaxe qui reste au service d’une versification libre mais usuelle. Il joue magnifiquement avec l’espace scriptural. Des signifiants, coupés en deux, un peu comme l’homme et son miroir, la mémoire, permettent au poète de jouer avec le sens et la phonologie. C’est alors comme ouvrir un mot et permettre aux acceptions de s’en échapper, à la pluralité des potentialités du lexique d’opérer une transmutation sémantique. Nous touchons là à l’essence même de la poésie, une simple syllabe suffit à Alain Marc pour ouvrir les strates sémantiques du langage. Une source limpide que ce recueil, qui mène le lecteur vers lui-même, avec humour ou gravité, mais toujours avec une humanité dont il révèle les contours. Le regard réflexif qu’Alain Marc porte sur lui-même étaie un discours scrutateur et constitutif d’un portrait dont émane l’essence de son être, parce que ce regard, loin d’être porteur de désenchantement, devient unificateur. Les deux derniers chapitres portent des titres qui disent cet aboutissement : « Poésies éveillées » et « poésies zen ». Les âges dévoilés par les réminiscences et abordés par le biais d’une lecture qui convoque les représentations de l’inconscient sont soumis à un examen qui démythifie le souvenir et permet d’apercevoir l’essence même de l’être. Mais n’est-ce pas là le rôle, la mission de toute poésie. Un verbe dévolu à l’éveil, à la constitution d’un homme dont le portrait serait impossible parce que figure de toute l’humanité, c’est ce que tente d’ébaucher Alain Marc, et c’est ce chemin dont il montre l’entrée au lecteur. C’est là l’ultime mission de la poésie. » Carole Mesrobian, article « Alain Marc, Poésies non hallucinées »
relais de l'article sur le profil du
réseau "social" Facebook de l'auteur (avec les appréciations
et un commentaire), relais de l'article sur le compte de microbloguage Twitter de l'auteur (avec une appréciation), ven. 6 oct. 2017 |
« Poésies non hallucinées d'Alain MARC : les mots et l'intérieur » […] mémoire de cris et d’écume, mots surgis du roulis des vagues... Il y a de la laisse de mer dans le recueil Poésies non hallucinées d’Alain Marc. Les peintures, en premier, accrochent le regard. Christian Jaccard soumet à la chaleur destructrice du feu des toiles anciennes […] Entre les stries et les traces noircies, émergent un corps, un regard, un paysage. Toiles des siècles passés, revivifiées par une laisse de feu. La démarche du peintre colle à merveille à celle du poète. De station en station, Alain Marc tente un chemin qui serait comme un recueil, entre « poésies non hallucinées », « poésies rescapées », « poésies éveillées », « poésies zen » et les « Notes » qui situent et éclairent les instants du poème. Le poète dialogue avec peintres et sculpteurs, danseurs et musiciens. En écoutant une composition de Maurice Ravel, il pose ces questions : « Des mots peuvent-ils venir, être suscités par la musique ? Et quels mots viendront ? » Il poursuit : « Mais bien plus qu’une traduction, il s’agit plutôt d’un point de départ. Des mots de la musique, à la musique des mots. » Alain Marc
utilise la matière des réminiscences, des élans, des sons, des
traces, et se coltine avec la matière de la page, du papier.
On connaît l’intérêt porté par le Beauvaisien à la pulsion, au
cri. Le lecteur passe ici... « Du cri au murmuré ». Alain Marc ne cesse d’interroger les mots de l’intérieur. Les libère de leur gangue. Il y a dans cette matière sonore et visuelle un crépitement électrique qui aiguise et aimante le lecteur. Et comme l’écrit Pierre Michon dans Rimbaud le fils, « tout cela [...] était disposé comme sont les vers, c’est-à-dire entre deux marges un maigre puis d’encre à pic au fond de quoi page après page on choit. » Hervé Leroy, « Poésies non hallucinées d'Alain
Marc : les mots et l'intérieur »,
relais de l'article sur le compte de microbloguage Twitter d'ActuaLitté, sam. 27 janv. 2018 relais de l'article sur le profil du réseau "social" Facebook de l'auteur (avec les appréciations), mer. 28 fév. 2018 relais de l'article sur le compte de microbloguage Twitter de l'auteur, mer. 28 fév. 2018 |
entretien avec Luc Vidal au festival Voix Vives de Méditerranée en Méditerranée de Sète
Ils l’ont dans leurs rayons ou en information
: Le livre est répertorié dans : Babelio, Sens Critique et Goodreads Ils l'ont eu un long moment dans leurs rayons : librairie Clareton des Sources à Béziers |
ACCUEILS PRESSE ET AUTRES :
première annonce de parution des Poésies
non hallucinées, & Rescapées, éveillées, zen sur le nouveau blog littéraire et musical de la revue Ffwl
Lleuw
dirigée par Christian Edziré Déquesnes, mar. 25 avr. 2017
annonce de parution et possibilité de commande
des Poésies non hallucinées, & Rescapées, éveillées, zen par
le collectif Artis Facta
(avec les appréciations et un partage sur la page la Vie des livres en
Picardie et ailleurs), réseau "social" Facebook, lun. 15
mai 2017
annonce de parution des Poésies non hallucinées, & Rescapées, éveillées, zen sur le compte de microbloguage Twitter de l'auteur, lun. 15 mai 2017
annonce de parution et possibilité de commande des Poésies non hallucinées, & Rescapées, éveillées, zen sur le profil Google+ du collectif Artis Facta, mar. 16 mai 2017
annonce de parution des Poésies non
hallucinées, & Rescapées, éveillées, zen sur le site des
éditions du Petit Véhicule
(avec le texte de présentation, deux anonymes calcinés et la
poésie "Fauve")
et relais de l'annonce de parution sur le réseau
"social" Facebook des éditions (avec les appréciations) et sur le profil Google+, sam. 20
mai 2017
annonce de parution et possibilité de commande
des Poésies non hallucinées, & Rescapées, éveillées, zen
sur le site des éditions du Petit Véhicule sur le profil du
réseau "social" Facebook de l'auteur (avec les appréciations), lun. 29
mai 2017
relais du lien vers les Anonymes calcinés
du site de Christian Jaccard non présents dans les Poésies
non hallucinées, & Rescapées, éveillées, zen,
profil du réseau "social" Facebook du collectif Artis Facta (avec les
appréciations et images en commentaire), mer. 14 juin 2017
proposition de commande avec une photographie du
recueil des Poésies non hallucinées, & Rescapées,
éveillées, zen par le collectif Artis Facta
sur leur profil du réseau "social" Facebook (avec les appréciations),
dim. 13 août 2017
indication de la poésie « les Eaux nous
assaillent » sur le thème de la fenêtre recherché par
Sylvie Durbec de part la photographie de la page 26-27
des Poésies non hallucinées, & Rescapées, éveillées, zen,
profil du réseau "social" Facebook
(avec une appréciation - cliquer sur "xx commentaires" puis "Afficher
les commentaires précédents" puis dérouler en bas de page), ven. 22
sept. 2017
photographie d'un exemplaire des Poésies
non hallucinées, & Rescapées, éveillées, zen dans une
bibliothèque personnelle, profil d'une lectrice du réseau
"social" Facebook
(avec les appréciations et partages), sam. 17 mars 2018
publication d'une photographie des trois recueils de poésies publiés en édition papier, réseau "social" Facebook, lun. 18 mars 2019
deux photographies des Poésies non
hallucinées, & Rescapées, éveillées, zen en indication de
relecture du recueil par Christine Vandrisse,
profil du réseau "social" Facebook de l'artiste (avec deux
appréciations), mer. 13 juin 2019
republication d'une photographie des trois recueils de poésies publiés en édition papier, réseau d'images Instagram, dim. 9 mai 2021
information "Replacer (et lire) les recueils de poésies & notes publiés dans leur ordre de première écriture" sur le profil du réseau "social" Facebook de l'auteur, dim. 4 août 2024
participation à des salons, manifestations, lectures par l'auteur et
interventions : voir le salon de
ville, la clôture
de l'exposition, le Marché
de la poésie,
le festival Voix
Vives de Méditerrannée en Méditerrannée, l'enregistrement d'un entretien avec Luc Vidal et d'une lecture assise
effectué à la fin de ce festival,
la lecture-présentation
en vue d'un projet gravures à venir, l'entretien
radio de 2017, le salon
de ville, la lecture
debout, le stand
au festival "Graines de mots",
le festival Voix
Vives de Méditerrannée en Méditerrannée 2018, les deux
lectures, la première
exposition de gravures et livres d'artistes de poésies du recueil
avec lecture,
la présentation
après la table ronde, la deuxième
exposition en deux parties de gravures et livres d'artistes
de poésies du recueil avec la brève
lecture à la première,
le salon de ville 2019,
l'intervention, le
festival
Voix Vives de Méditerrannée en Méditerrannée 2021,
le salon
de ville et le festival
Voix Vives de Méditerranée en Méditerranée 2022,
le premier
et le deuxième
salon de ville,
le festival,
la lecture
en voile latine,
l'atelier,
la lecture
en transats,
la lecture
collective,
la lecture
« Sous un même ciel »
et
la lecture
en barque au festival Voix Vives de Méditerranée
en Méditerranée 2023,
le
premier
et le deuxième
salon de ville 2024
et l'exposition à la
galerie Terrain Vagh 2025
livre
présent sur les autres différents stands des éditions du Petit
Véhicule :
Marché de la poésie de Rochefort-sur-Loire devenu Béhuard une île en poésie et autres
(festival international de poésie « le
Mitan du chemin » de Camps-la-Source 2017,
etc.)
PUBLICATIONS EN REVUES ET... EFFECTUÉES :
voir les Poésies
non hallucinées Revues et... (avec des extraits)
ISBN 978-2-37145-562-7 - 136 pages, format 210 x 210 relié à la chinoise - 25 €
collection de « la Galerie de l'Or du temps » no 73, éditions du Petit Véhicule
André Breton avait écrit sur sa tombe : Je cherche l'or du temps. C'est cet or du temps qui sera recherché dans la rencontre entre un poète, un auteur, un peintre, un illustrateur, l'alliance privilégiée entre les créations de différents artistes ou bien au sein même d’une œuvre les liens polyvalents entre différents aspects de cette oeuvre par un même artiste. Ainsi en est-il de cette collection. |
particuliers :
|
commander le livre en ligne auprès d'Artis Facta 25 € + 5 € 30 de port (avec une dédicace de l'auteur)
commander le livre en ligne sur le site des éditions du Petit Véhicule (avec 3 anonymes
calcinés de Christian Jaccard)
- télécharger le vient
de paraître suivi du bulletin de commande
Ils l’ont acquis : |
(Autres livres dans la collection de « la Galerie de l'Or du temps » :
Lucien Wasselin et Robert Renard, Traversée de la mémoire (no 18),
Georges-Elia Sarfati et Éloi Derôme, De cendre et d'oubli (no 22),
Jean-Marc Brunet et Guillaume Apollinaire,
Michel Butor, Jean Orizet, Luc Vidal (dir.)..., Les Couleurs de la nuit (no 23),
Roger
Wallet et Senga la Rouge, (Dis) - cordes [sur le spectacle] (no 24),
Claudine
Helft, La Porte ou la parenthèse de l'éternité
(no 28),
Amina
Saïd et Ahmed
Ben Dhiab, Chroniques des matins hantés (no 71)
etc.
Dans la collection « le Cercle intime » :
Georges
Drano, Paysages traversés (Anthologie 2003-2014),
Nicole Drano-Stamberg, L'employée de la poésie philtre les
mots entre les doigts,
etc.
Mais aussi les Cahiers des poètes de l'École de
Rochefort-sur-Loire,
la revue thématique Incognita (sur Claudine Helft, Armand Gatti, Robert Desnos, etc.),
les cahiers d'arts et de littérature Chiendents
et les Cahiers d'études Léo Ferré)
cet ouvrage a reçu le soutien du collectif Artis Facta
une lecture
assise a été effectuée
une lecture
debout a été effectuée
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avec une première
exposition et une deuxième
en deux temps
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