image de couverture : Raoul Hausmann, Plakatgedicht (Poème-affiche), 1918 © Centre Pompidou, Paris
« un essai et une réflexion pour une poésie vivante et quotidienne. » poésie, rue, poésie vivante, poésie criée
présentation et annonce de parution |
« Il y a deux façons de voir la poésie,
qui divisent les paroles sur le genre en deux
catégories. Il y a ceux qui se contentent du sort et de
la place que la société réserve à la poésie, il y a ceux
qui reconnaissent qu’il y a de nombreuses choses à
changer, et peut-être en premier dans l’exercice
lui-même, de la poésie. L’auteur de cet essai fait
incontestablement partie de la deuxième catégorie. 4ème de couverture des Chroniques
pour une poésie publique |
« “Mais où est la poésie ?” qui ouvre cet essai, regroupe des interventions qui ont été effectuées en revues (articles), mais aussi dans la rue et par courrier, à divers poètes et écrivains (tracts). Les chroniques qui emboîtent le pas, sont avant toute une lecture au quotidien de tout ce qui, ayant un rapport direct avec la poésie, a pu passer dans les mains du militant devenu nécessaire. Alors, “une Poésie publique est-elle possible ?” » « Pour une quatrième de
couverture », |
« Aujourd’hui
la poésie actuelle, moderne et
contemporaine, est présente sur Internet
et donc censée l’être plus et plus
connue autour de nous. L’est-elle pour
autant plus qu’à l’époque qui l’a juste
précédée ? La situation est plus
compliquée et contrastée qu’il pourrait
paraître, et la question reste donc
posée. Ibid. |
« Il
s’agissait alors de se frayer un
chemin au milieu de la confusion
d’un présent, au milieu d’une
pensée qui par tous les moyens
cherchait à naître, par le
débordement (Jacques Derrida)
qu’elle infligeait au quotidien.
Il s’agissait de fouiller
l’opacité d’un présent encore
confus, se dérobant à chaque
tentative. À l’œuvre, en œuvre :
l’émergence d’une pensée.
Conviction profonde, encore
enfouie, qui touche aussi bien
l’écriture que l’édition. Pas
loin d’un Antonin Artaud.
Refaire le coup du Théâtre et
son double, mais cette fois,
appliqué à la poésie. Il
s’agissait, ou plus exactement
il s’est agit, de consigner,
déposer, garder en sécurité,
mais aussi, le moment venu,
réunir. Consigner, déposer, les
grattages, les bribes de pensée,
par enlèvements de matière
(dégrossir, découper, sculpter).
Puis réunir, relire et réunir.
Pour examiner. Pour aller vers
une élucidation, de l’opacité
présente (qui se révèle par sa
présence), ou tout juste passée,
qui s’est révélée, ou se révèle
encore, par les émotions
impulsives que suscite
l’activité permanente de la
pensée au quotidien. préface des Chroniques pour une poésie publique précédé de « Mais où est la poésie ? ». |
notes et réflexions notamment tirées de les États généraux de la poésie (cipM / Musées de Marseille), Witold Gombrowicz, Contre les poètes, Paul Bénichou, entretien le Débat no 54, Christian Doumet et François Boddaert, Pour affoler le monstre, Preuves et épreuves d'une poésie actuelle suivi de Propos et billevesées d'un entrepreneur de poésie (Obsidiane), mais aussi d'Antonin Artaud, de Mikel Dufrenne et bien d'autres, chroniques parues dans les revues Contre Vox, Variable, la Revue Commune, Rimbaud Revue et autres, sur les revues la revue murale l'Affiche de Didier Vergnaud, et bien d'autres, pas toujours nommées, sur les livres ou réflexions sur la poésie et autres de Michel Deguy, Henri Meschonnic, Jacques Gaucheron et bien d'autres sur Bernard Lavilliers et la poésie et bien d'autres points. |
dédicaces des Chroniques pour une
poésie publique |
republication de la note « Écrire une poésie, en ayant en
tête... » du 21 nov. 1990 de la p.125 de
l'essai,
profil du réseau "social" Facebook de l'auteur, mer. 3 fév. 2021 republication de la note « Utiliser la poésie comme un
moyen... » du 21 fév. 1991 de la p.125 de
l'essai,
profil du réseau "social" Facebook de l'auteur, dim. 7 fév. 2021 republication de
la note « Je diviserais la poésie en
cinq domaines... » du 15 oct. 1991 de la
p.126 de l'essai,
profil du réseau "social" Facebook de l'auteur, lun. 8 fév. 2021 republication de la note
« Les images de la terre (ou celles de la
pierre)... » du 4 jan. 1992 de la
p.127 de l'essai,
profil du réseau "social" Facebook de l'auteur(avec une question sur Emily Dickinson), mer. 10 fév. 2021 republication de la note
« Pourquoi la poésie ne
serait-elle... » du 2 avr.
1992 de la p.128 de l'essai,
profil du réseau "social" Facebook de l'auteur(avec deux commentaires et une précision), jeu. 11 fév. 2021 republication
de la note « Regarder
la réalité en face, et ne
plus... » du 9 avr.
1992 de la p.128 de l'essai,
profil du réseau "social" Facebook de l'auteur, ven. 12 fév. 2021 republication
de la note «
Ce que je critique le plus
dans la poésie... »
du 7 sept. 1992 de la p.129 de
l'essai,
profil du réseau "social" Facebook de l'auteur(avec plusieurs commentaires), sam. 13 fév. 2021 republication de la note « Le sentiment de poésie naîtrait du recul... » du 26 oct. 1992 de la p.130 de l'essai, profil du réseau "social" Facebook de l'auteur, lun. 15 fév. 2021
republication de la note «
"La littérature,
c’est créer du
beau",
entend-on... »
du 29 oct. 1992 de la
p.130 de l'essai,
profil du réseau "social" Facebook de l'auteur, mar. 16 fév. 2021 republication de la note « Il y a toujours un premier et un deuxième niveau de langue... » du 7 nov. 1992 de la p.130 de l'essai, profil du réseau "social" Facebook de l'auteur (avec un commentaire explicatif), mer. 17 fév. 2021 republication
de la note
« L’art doit
dire quelque
chose... »
du 24 mars 1993 de
la p.131 de
l'essai,
profil du réseau "social" Facebook de l'auteur (avec un partage), jeu. 18 fév. 2021 republication
de la note
«
J’entends
encore
aujourd’hui ce
genre de
phrase... »
du 11 mars
1994 de la
p.132 de
l'essai,
profil du réseau "social" Facebook de l'auteur, ven. 19 fév. 2021 republication
de la note
« La
littérature
trop
travaillée... »
du 13 avril
1995 de la
p.138 de
l'essai,
profil du réseau "social" Facebook de l'auteur, lun. 22 fév. 2021 republication de la note « En poésie, ou tout du moins dans ce qui est consacré... » du 23 mars 1996 de la p.141 de l'essai, profil du réseau "social" Facebook de l'auteur, mar. 23 fév. 2021 |
« Alain Marc : "Chroniques pour une poésie publique" précédé de "Mais où est la poésie ?" »« Dès 1990, Alain Marc forge le concept de poésie publique. À partir de 1996, il commence à écrire des chroniques qui seront publiées dans la revue Contre Vox… Jusque 2000, cinq chroniques paraîtront ainsi dans ce périodique, avant que les quatre premières ne soient rééditées sous forme de tracts qui seront distribués lors de diverses manifestations ou envoyés à quelques poètes, pendant une dizaine d'années. C'est dire qu'Alain Marc est avant tout un militant qui ne se contente pas de déplorer, comme beaucoup de poètes, la désaffection du public pour ce genre littéraire. […] "Chroniques pour une poésie publique" […] cette lecture reste stimulante de la première à la dernière page. Et s'il fallait résumer l'ensemble par quelques mots, ce serait : "J'hésite d'ailleurs à me présenter comme poète tellement les images que véhicule ce mot sont désuètes". L'ouvrage est divisé en deux parties. La première, intitulée "Mais où est la poésie ?" reprend les cinq chroniques données dans Contre Vox, neuf articles très divers (du plagiat opéré par un chanteur qui connaît le succès à la situation éditoriale de la poésie) et les échos d'un premier débat dont une partie a été publiée à la fin des années 90 (cf p 223, Préalables). La seconde regroupe une sorte de journal fait d'un montage de réflexions, de citations et de bribes plus ou moins courtes… C'est classé en six ensembles de longueur variable (de 4 à 40 pages) et s'étalant sur des périodes allant de 7 à 25 ans. Et c'est complété par un article de 1991, "Une poésie publique est-elle possible ?" qui reprend sous une forme synthétique les éléments abordés auparavant. C'est dire que ce livre témoigne d'une longue réflexion et qu'il mérite attention. La poésie publique serait, selon Alain Marc, la solution à la désaffection signalée précédemment. À la double condition, précise l'auteur, qu'une nouvelle thématique exprimant les préoccupations actuelles du plus grand nombre […] soit exploitée par des poètes de plus en plus nombreux d'une part […] et que, d'autre part, de nouvelles modalités de diffusion de la poésie voient le jour. Comme la lecture publique par exemple, si les poètes savent éviter les travers de la lecture telle qu'elle est pratiquée habituellement par les poètes eux-mêmes et une nouvelle façon d'aborder l'édition (cibler le public, éviter les tirages luxueux et les grands papiers, renoncer à la page quasi vierge qui a tendance à devenir un tic d'écriture…). Les deux conditions sont souvent liées. Alain Marc pourfend surtout l'hermétisme et le "haut langage" dans lesquels se complaisent trop de poètes, le fonctionnement de ces derniers en cercle fermé (qui écrivent pour leurs semblables). Etc. On ne peut qu'adhérer à de telles revendications tant les constats qui les sous-tendent sont partagés. On reste impressionné par la quantité d'informations traitées par Alain Marc et par la diversité des citations si bien que l'on est quelque peu gêné car il y a toujours quelque chose qu'on n'a pas lu ! Mais ce qui est dit ou cité de Maïakovski, d'Aragon ("il faut s'adresser à des millions d'hommes"), de Sartre (qui pose les bonnes questions sur la poésie), de Dylan Thomas, de Pasolini… est remarquable et bien sot celui qui ne partagerait pas ces propos. Si le concept de poésie publique est attirant, on peut se demander si celle-ci est suffisante pour effacer le divorce entre le public et la poésie. Et ce, pour diverses raisons. […] Pour résumer en raisonnant… Dans son interrogation sur les rapports entre la poésie et la science, Alain Marc fait un parallèle entre poésie et résistance que lui inspire l'ouvrage de Jacques Gaucheron.. Il en extrait une phrase qui décrit bien, semble-t-il, la situation : "encore aujourd'hui sans doute est-il des esprits qui ne conçoivent pas qu'il puisse exister une poésie en-dehors du courant spiritualiste". […] L'analyse que fait Alain Marc du livre de Gaucheron est juste et bonne à entendre. […] […] Il y aurait encore bien des points qui interrogent à relever dans le livre d'Alain Marc comme cette condamnation de la mise en chansons de poèmes dont Aragon disait qu'elle constituait une "forme supérieure de la critique poétique". Jean Ferrat, en particulier, s'attire les foudres d'Alain Marc […] le mérite de son ouvrage : il suscite la discussion et la recherche de solution(s). "Pour une poésie publique" est un livre rare et à défendre pour les problèmes qu'il aborde. Il appelle implicitement à une réflexion collective. Le changement n'est sans doute pas pour demain mais nul ne peut se satisfaire de la situation actuelle des poètes et de la poésie. […] Le débat est ouvert… » Lucien Wasselin,
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« Chroniques pour une poésie publique, précédé de Mais où est la poésie ?, Alain Marc »« […] cet ouvrage très fouillé, très dense, fourmillant de milliers de références sur la poésie contemporaine. L'auteur […] dresse le bilan de sa quête de la poésie dans les espaces dédiés à la littérature, que ce soient des édifices en dur conçus pour en abriter les volumes (librairies, bibliothèques, centres culturels) ou des refuges de papier reliés et édités pour en accueillir des extraits (revues, journaux, magazines), ou encore des vitrines audiovisuelles (radio, télévision) ou virtuelles (sites, blogs). Le constat est amer : la poésie brille généralement par son absence, ou par la place scandaleusement réduite, insupportablement occulte, qui lui est attribuée.
« Le cinéma, le théâtre, la danse ou la musique ont trouvé dans nos villes des lieux où s’épanouir, mais pas la poésie ». Quelles sont les raisons de cette relégation ? Pour Alain Marc, la responsabilité en incombe d’une part […], d’autre part […], trop enclins à cloisonner dans un rayon « spécial » situé sciemment dans des recoins d’arrière-boutique les quelques poètes patentés, seuls susceptibles, selon l’opinion surfaite et subjective qu’ils se font de l’actualité et de l’histoire du genre poétique, d’intéresser un lecteur égaré. […] Mais pour l’auteur, les premiers responsables sont les poètes eux-mêmes. Les uns, dénonce Alain Marc, se cantonnent par héritage forcé dans une langue dont ils considèrent que l’hermétisme seul lui confère le statut de poésie, confortés par les porteurs, universitaires ou critiques autorisés, de la norme officielle et souveraine que Marc assimile à ce que Barthes qualifie de littérature bourgeoise. […] La plupart sont fatalistes, admettent à l’avance que leur recueil ne sera lu que par quelques dizaines, peut-être quelques centaines, au mieux quelques petits milliers de lecteurs. […] Le poète d’aujourd’hui, accuse encore l’auteur, écrit pour des revues qui ne sont lues que par d’autres poètes qui à leur tour y publieront leurs textes. […] […] […] Pourquoi, lorsqu’elle le fait, lorsqu’elle se met par exception en scène, le fait-elle par la voie, par la voix d’acteurs qui ne savent pas la mettre en valeur, coincés qu’ils sont dans les stéréotypes d’une diction classique théâtrale, figée et frigide ? Alors ? Quelle poésie pour Alain Marc ? Il est urgent, martèle-t-il, que la poésie sorte des cryptes, émerge du mystère dans lequel elle s’est volontairement immergée depuis plus d’un siècle. Il est urgent que la poésie ait à nouveau du sens, non pas un sens caché, qu’il faut aller déchiffrer, interpréter, feindre de comprendre, non pas une poésie qui ne fonderait sa beauté que sur la forme, le style, la figure, mais une poésie sociale, voire sociétale, une poésie du réel, du quotidien, du tangible, une poésie militante, une poésie agissante, une poésie de la résistance, du citoyen, une poésie sur « le sens du monde » et non plus, ou non plus seulement, sur le sens… de la poésie… Et de citer à nouveau Jacques Gaucheron […] Pour une poésie publique Après avoir
exposé ces causes, et d’autres encore, selon lui, de la
rupture entre la poésie et son destinataire naturel, le
public, tout le public (et non pas « un » public), après
avoir distingué les fonctions potentielles de la poésie dans
la société, Alain Marc retranscrit sur cent-quarante pages
les notes et chroniques quasi quotidiennes, dûment datées,
qu’il a consignées dans ses carnets de 1990 à 2013. Quelques propositions : Que la poésie sorte du schématisme imposé et des poncifs d’un art poétique que l’auteur juge dépassé, inadapté, formaliste, intégriste, dictatorial et élitiste ! Que pour autant elle ne tombe pas dans la facilité, vite synonyme de médiocrité ! Qu’elle rende la primauté au sens ! Que les poètes cessent de se considérer a priori comme des créateurs incompris, voire maudits ! Qu’ils sortent du défaitisme et du fatalisme ! Qu’ils se battent, et que leurs éditeurs se battent avec eux, pour la poésie ! Mais que la poésie elle-même soit une poésie offensive, participative, ouverte sur l’époque et sur ce qui s’y passe ! » Patryck Froissart, extraits de « Chroniques pour une poésie publique, précédé de Mais où est la poésie ?, Alain Marc », site Internet la Cause littéraire, 7 janv. 2016
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la Cause littéraire du réseau "social" Facebook relais de l'article sur le profil de
Christine Delorme-Mercandier (co-administratrice de la
Cause littéraire) relais de l'article sur le groupe
Poésie publique du réseau "social" Facebook relais de l'article sur le groupe les Amis du Zaporogue du réseau "social" Facebook (avec les appréciations - il faut être connecté) relais de l'article sur le profil de Sébastien Doubinsky du réseau "social" Facebook (avec les appréciations) relais de l'article sur le compte de microbloguage Twitter de la Cause littéraire (avec les appréciations et les nouveaux relais) relais de l'article sur le compte de microbloguage Twitter de l'auteur (avec les appréciations et les nouveaux relais) |
« au père de la poésie publique, pas putassière, tout le contraire […] Savez-vous […] Vous voici deux à tirer dans le bon sens » Pierre Perrin, mot d'anniversaire sur le réseau
"social" Facebook (il faut être ami avec l'auteur), |
« Merci Alain Marc. Je connais depuis longtemps ton questionnement et tes travaux pointus et avisés sur la poésie... » Muriel Verstischel, mot de conclusion d'un "débat" sur le
réseau "social" Facebook |
télécharger et lire le livre en ligne
- les Chroniques
pour une poésie publique précédé de « Mais
où est la poésie ? » ont reçu auparavant
entre autres l'appréciation
de Jean-Pierre Siméon et depuis leur publication celles
d'Éric Sarner, Jean-Sébastien Gallaire, Pierre Troullier,
Pierre-Jacques Collins et de plusieurs personnes de la sphère du
Zaporogue -
INFORMATIONS :
information sur la page du réseau "social" Facebook des éditions du Zaporogue (avec les appréciations), 29 sept. 2014
annonce de parution sur le profil du réseau "social" Facebook (avec les appréciations), 29 sept. 2014
deuxième annonce sur le profil du réseau "social" Facebook (avec les appréciations), 26 nov. 2014
information en relation avec une table ronde sur « l'état de la poésie en France » sur l'événement enregistré sur le réseau "social" Facebook (avec une appréciation), 4 juin 2015
publication d'une photographie des deux "essais sur le parcours", réseau "social" Facebook, lun. 18 mars 2019
republication d'une photographie des deux "essais sur le parcours" (avec Écrire le cri), réseau d'images Instagram (avec une appréciation de Colette Deblé), dim. 9 mai 2021
précision
à Emmanuel
Ponsart sur
les tables
rondes
organisées par
le cipM et
abondamment
commentées
dans les Chroniques
pour une
poésie
publique,
réseau
"social"
Facebook, mar.
9 août 2022
PUBLICATIONS EN REVUES ET AUTRES EFFECTUÉES :
voir les extraits publiés dans Poésie publique Revues et...
580-010626-593-9 - 230 pages, format 140 x 216, couverture souple, dos carré-collé - 4 € 56 + TVA + port (soit 9 € 60 pour 1 livre)
Éditions du Zaporogue *, fin sept. 2014
* voir le blog des éditions, la déclaration d'intention et les couvertures des autres publications
("Publier ou périr !")
les
Éditions du
Zaporogue,
créées et
dirigées par Sébastien
Doubinsky,
publient des
romans,
recueils de
nouvelles,
poèmes et
porte-folios
d'auteurs
français,
danois,
finlandais,
américains,
brésilien,
bangladais,
sénégalais et
autres
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(DEMANDER LA BOUTIQUE FRANCE AU PRÉALABLE SI TEL N'EST PAS LE CAS)
(aux éditions du Zaporogue :